La rencontre débute en invoquant l’Esprit Saint avec un chant : « L’Esprit de Dieu repose sur moi, l’Esprit de Dieu m’a consacré, l’Esprit de Dieu m’a envoyé proclamer la paix, la joie. » et une prière. Il est notre compagnon constant, qui nous inspire à vivre l’Evangile avec Marie, avoir des bénédictions et être sous la protection du Seigneur Dieu. Puis, en union, place au Rosaire vivant qui est la prière mariale centrée sur le Christ.
Les Mystères
« O Seigneur, je viens vers toi, je viens vers toi, je te cherche mon Dieu. O Seigneur, écoutes-moi, écoutes-moi, je t’espère mon Dieu », est le refrain entonné pour commencer la méditation des mystères. Chaque mystère est un évènement de la vie de Jésus. Il y a l’énoncé, le fruit, un passage de l’Evangile suivi de la méditation, des intentions, un « Notre père », dix « Je vous salue Marie » avec clausule, et un « Gloire au Père ».L’assemblée parée de bleu et de blanc est invitée par la responsable Paroissiale des EDR de Morne à l’Eau à se signer avec la croix de son chapelet, puis réciter le crédo, le Notre père, les 3 « Je vous salue » et le Gloire au Père. La méditation de cinq mystères est associée à une chanson :
- Les JOYEUX rythmés avec « Tu as porté celui qui porte tout, notre sauveur en ton sein a pris
chair... » sont à l’initiative de l’équipe du Bourg 1
- Les LUMINEUX cadencés avec : « Chez nous, soyez reine, nous sommes à vous, régnez en
souveraine, chez nous... » par des fidèles et l’équipe Saint-André
- Les DOULOUREUX suivis par : « Vierge bénie entre toutes les femmes, mère choisie entre
toutes les mères... » par l’équipe de Lasserre
- Les GLORIEUX accompagnés de : « Nous te saluons, Ô toi Notre Dame, Marie Vierge Sainte
que drape le soleil » Par l’équipe de Vieux-Bourg.
L’Eglise est en communion avec des fidèles d’ici et d’ailleurs au point que le temps imparti n’a pas pu être respecté. La célébration Eucharistique débute après 18H30 avec le curé, le père Godefroid.
La Messe
Le chant d’entrée ouvre le deuxième temps de prières : le partage de la parole de Dieu du jour. Les membres du rosaire sont de service.
La liturgie de la parole est tirée, à la Première Lecture, de Romain 8, 18-25, précisant que la création attend avec impatience la révélation du fils de Dieu. L’Evangile de Luc 13, 18-21 dit « La graine a poussé, elle est devenue un arbre ».
Le temps fort est l’homélie du Père Godefroid consacrée au Rosaire et le chapelet.
Après avoir rappelé l’origine du Rosaire, l’institution du mois d’octobre comme le mois du Rosaire par le pape Léon 13, il dit la place de la prière du Rosaire dans la vie de chaque fidèle, mais aussi des saints, du Pape François, des clergés et de lui-même.
Il dit aussi que les fils et filles de Marie sont des gens simples et humbles pratiquant la prière du cœur dans toutes les situations et à tout moment. Les membres des équipes du rosaire fonctionnent comme des combattants contre le mal, des soldats de Marie. Ils agissent aussi comme des voyageurs que nous sommes tous, encouragés à poursuivre l’œuvre de DIEU en le mettant à la première ligne de notre vie et
en nous permettant d’être des gens heureux appréciant la beauté de Dieu.
Le rosaire est et reste un outil puissance pour au moins cinq raisons :
- Marie aide à mieux comprendre son fils Jésus-Christ, à réfléchir aux mystères révélés dans les
évangiles et à consacrer du temps avec Dieu ;
- Ceux qui récitent le rosaire se voient promettre grâces et indulgences. Ils prient en toute
discrétion, intérieurement, sans attirer l’attention ;
- il garantit la victoire aux pauvres. C’est l’arme puissante au milieu des guerres contre des esprits
mauvais (les démons) et la bataille pour des biens matériels.
- C’est une prière simple et répétitive à laquelle est ajoutée ses propres intentions ;
- C’est une prière miracle qui guérit les maladies et résout les problèmes ;
Moment intense et intéressant vécu par l’assemblée qui a répondu à l’invitation des Equipes du Rosaire.
La relation avec Dieu s’est poursuivie avec la chorale de Blanchet qui nous a offert un temps de louange pour remercier Dieu et Notre Dame pour sa bonté, sa fidélité et son amour, avant la bénédiction finale prononcée par le curé, le père Godefroid.